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Le 30 août prochain, la sortie de la réédition en noir et blanc de « L’Almanach ».

« À chaque mois son prénom : Hélène, Angélique, Félicien... Et à chaque prénom son histoire fantastique. Ces histoires qui viennent rythmer les saisons, comme ces almanachs d'autrefois présents dans les cuisines ou près de l'âtre. Ces légendes oubliées nous parlent de fantômes, de sorcières, d'enfants perdus, de vengeance... autant de contes diaboliques qui font frémir et qui permettent de se souvenir que non loin de nous reposent l'étrange et l'inconnu.

Car ce sont nos campagnes que dépeint Jean-Claude Servais dans cet ouvrage. Il se fait l'écho des racontars et des récits oraux et il les retranscrit ici avec sa force graphique et son talent de conteur. Un Almanach qui a vu le jour en 1988 et qui est réédité chez Dupuis dans toute sa splendeur d'antan. »

Source Dupuis

A cette occasion, le Club de la BD a édité un ex-libris à 400 exemplaires numéroté/signé qui sera offert à l'achat de la BD.

Le 18 octobre prochain, la sortie de la nouvelle bd de Jean-Claude : « Le fils de l’ours » ainsi qu’une édition limitée à 777 exemplaires avec frontispice inédit, numéroté et signé, imprimé sur papier d'art.

« Lorsque l'Empereur Charles III le Gros répudie sa femme Richarde en 880, elle retourne dans son Alsace natale suite à une vision. Là où une ourse gratte la terre pour enterrer son petit, elle devra construire une abbaye. Quelques années plus tard, l'abbaye d'Andlau sort de terre et sera liée à cet animal, roi des forêts.

Bien des années plus tard, en 1760, en plein coeur de la vallée de Munster, un village festoie. Le fils encore jeune du plus important fermier de la région ne laisse pas le coeur d'Eva et de Maria insensible. Ces jumelles, que tout oppose pourtant, le trouvent charmant. Mais le père du garçon ne voit pas cela d'un bon oeil et il interdit fermement à son fils de les côtoyer. Mais les interdits sont faits pour être bravés, et à 18 ans, il est difficile de penser au lendemain. Lorsqu'un ours est aperçu dans la vallée, les chasseurs décident de traquer la bête. Mais Eva compte bien le voir avant, d'autant qu'elle connaît la légende d'Andlau et souhaite rencontrer ce gigantesque animal pour de vrai. Maria, moins sereine, va la suivre bien malgré elle. Se noue alors sous les frondaisons et dans la montagne le destin entremêlé de ces humains et de ces animaux.

Servais narre ici une légende alsacienne portée par un dessin évocateur et poétique. Une histoire tragique et sublime qui permet de saisir à quel point nos régions gardent encore bien des secrets. »

Source Dupuis



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